Efficacité de la gestion de la crise sanitaire Le Mouvement "Open our Land Borders" exige des protocoles plus résilients et soutenables
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L'Oeil d'Afrique, 25 août 2021
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Même dans les pays où il existe des menaces de terroristes, la suppression de la circulation n'a jamais été la solution.
La dangerosité de la Covid 19 à ce jour est connue et les moyens appropriés pour réduire efficacement sa propagation sont aussi connus.
Il revient ainsi d'évaluer l'efficacité des protocoles sanitaires disponibles à ce jour, les adapter aux besoins du temps, pour enfin faciliter sa réadaptation sans impact majeur sur l'économie.
Il est un constat généralement établi, à ce jour, les économies des différents pays sont en berne, et les populations deviennent de plus en plus vulnérables, incapables de prendre des mesures d'hygiène et des soins primaires idoines pour atténuer des facteurs de propagation et d'aggravation de la pandémie.
Consequence: la contamination devient de plus en plus facile et massive dans la mesure où les précautions d'hygiène ne sont pas à la portée du citoyen lambda. Les personnes deviennent de plus en plus pauvres, en étant isolé comme ils le sont aujourd'hui, et l'écart entre les classes sociales s'amplifie, faisant disparaître la classe moyenne au profit de la base qui perd de jour en jour, son pouvoir d'achat. Ainsi, la pauvreté tue autant que la covid19.
Il ya lieu donc de remédier à cette situation de cycle infernal COVID/pauvreté en révisant les procotoles sanitaires mis en oeuvre depuis le début de la crise sanitaire, et mettre en place de nouveaux plus rigoureux tenant compte de la préservation de la santé, la facilitation de la circulation, sans laquelle l'économie ne sera pas possible pour la soutenabilité anti covid19.
Il est vrai que la pause de barrières de poste de contrôle pour détecter de susceptibles personnes dangereuses sont adoptées.
Mais on en vient, selon des déductions que dans le cas de covid19, la solution de rigueur adoptée en la fermeture des frontières terrestres, comme dans la condition actuelle, sert plutôt à la cause de la pandémie qu'à son élimination.
En ce moment, les mesures de soutien social coûtent énormément au contribuable et creusent des déficits que le PIB, déjà avant la période Covid19, devenant presque réduit, n'est pas capable de rembourser. Et cela pourrait à terme agir sur la production intérieure, avec des déficits dans la balance commerciale, une longue chaîne de cycle de nouvelles situations dont il est besoin de restructurer.
"La science c'est la gestion des renseignements sur la vie" dit-on. Et à ce titre, elle ne peut qu'être utile à l'homme. Ici, le sentiment partagé laissé croire que la science aujourd'hui milite à réduire la vie humaine, au profit de la covid19 qui elle, prend de jour en jour, une expansion médiatique et joue avec l'état d'esprit et la liberté physique des populations, sans autre possibilité d'entrevoir une lueur d'espoir pour l'homme.
On semble assister impuissant au décès des populations, paradoxalement les laboratoires pharmaceutiques font leurs lois, et la grande masse est sous pression.
Les hôpitaux quant à eux, sont limités et les frontières terrestres restent fermées, alors qu'il est possible de voyager à moto, à vélo, à pieds et qu'il soit créé des couloirs individualisés par personne, à fonctionnement mécanisé, mieux électrique ou électronique avec surveillance par écoute de caméra... c'est possible.
Face à ces constats, le mouvement "Open our land borders" estime que l'érection des frontières ne devrait pas avoir pour mission première d'empêcher la circulation des biens et des personnes, mais d'organiser la circulation. De même, ces frontières pourraient être intra-pays, intra-maisons ou intra-individuelles... selon que ce mouvement parle de barrière anti-virus.
D'aucuns estiment que les techniques doivent être mises en place sur les frontières terrestres: des chambres de détection électroniques payantes, vitrées transparentes avec des températures à même de radier le virus, monospace, pour les voyageurs et personnes en transit..a suggéré le groupe d'experts suisses sur la question de désinfection.
Mettre par exemple des barrières vitrées entre les passagers par rangée, en diminuant le nombre de voyageurs, ...des mesures en études dans les usines de fabrication de véhicules...
Des ensembles de nouvelles pratiques d'hygiène qui doivent s'adapter à la persistance du virus afin de faciliter la soutenabilité nécessaire à la résilience contre le virus...au cas contraire, l'immobilisme dans lequel se plonge l'humanité peut suffir pour engendrer une aggravation des crises multiformes dont les conséquences seront incalculables sur la survie de la race humaine.
Aussi, l'on ne peut passer sous silence la nécessité de désinfection des lieux publics dans les métropoles d'Afrique, comme les égoux dans les gares publiques et les marchés.
Toutes ces précautions sont d'autant plus importantes pour éviter que des classes sociales ne se battent pour leurs libertés de circuler.
En définitive, la prophylaxie médicale indiquée contre le Corona virus doit également prendre en compte l'Homme dans sa globalité, et non devenir une sorte de camisole de force imposée par une maladie qui prendra encore trop de temps pour être vaincue, dans la mesure où les variantes existent et les vaccins sont à courte durée d'effet. Ce qui est synonyme de mobilisation constante de ressources, ressources qui ne peuvent être possibles sans les activités la liberté économique pour mobiliser les moyens de survie et de défense individuelle et collective, tenant compte de ce que la santé a également un coût financier.
Ensemble, disons "NON" à la propaganda de la COVID19 contre les libertés inaliénables, OUI à la vaccination anti Covid19 et à l'adoption des mesures barrières.