Les Défis de la Jeunesse et du Développement en Afrique : Entre Manipulation, Gouvernance et Perspectives de Prospérité Quel est le problème dès le début ?
Le continent ne prend pas en charge la jeunesse comme cela se fait en Occident. Au point que le rêve de vivre une vie meilleure reste figé dans l'esprit des jeunes, qui manquent d'orientation. Le maintien dans le statut de pauvreté : alimentaire, éducative, raisonnementale, avec comme objectif de maîtriser la jeunesse, fait de cette jeunesse une proie facile à la manipulation. Car il existe de grandes manipulations de masse, une décadence de la civilisation noire qui exploite les instincts grégaire des jeunes pour des enjeux sans lendemain.
Alors même que les grands pays comme les États-Unis mettent en place des systèmes de formation assez ouverts pour leur jeunesse, les États africains produisent des systèmes de formation qui marginalisent les acquis essentiels au bon déroulement des dynamiques dans divers domaines. De sorte que nous assistons à une sorte de tentative d'inventer la roue, avec des pertes et des drames dus à une pseudo ingénierie.
Par exemple : peut-on aujourd’hui vouloir concevoir une autre méthode d’accouchement ? Les risques de voir les choses mal se passer sont énormes, et il faut parfois repartir à zéro. C’est plutôt ce cycle d’insécurité existentielle qui déroute la jeunesse.
Déjà, au Burkina Faso, le camarade IBRAHIME, si vrai que sa popularité se mesure à la qualité de sa gouvernance.
Ailleurs en Afrique, la question de la gouvernance moderne, en relation avec la disponibilité de statistiques dans la prise en charge de la population et la consultation de ces statistiques, manque énormément, rendant difficile de croire à la bonne volonté des dirigeants, qui mentent souvent, en parlant d’une certaine souveraineté noire ou d’un panafricanisme prétendu.
Certains prétendent que l’Afrique pourrait dépasser le monde occidental, déclarant avec arrogance que l’Afrique serait le créancier de l’Occident, comme si la simple possession de l’or suffisait à inventer la richesse.
Disposer de fèves de cacao ne fait pas de nous de bons chocolatiers. Apprenons à tirer partie de ce que l’Occident a de bien, et cessons de sacrifier nos populations qui meurent de famine, d’absence d’eau potable ou d’un revenu minimum qui pourrait leur permettre de vivre décemment. De telles mesures existent en Occident pour valoriser le dividende démographique.
@AYEGNON KOSSI BLAISE
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